INVERSUS DOXA -1997 - réf. B3906 - 15€
Extrait de Dans la chair :
“Au total, une musique libre qui convoque par guitares frottées de diverses façons et montages électroacoustiques variés tout un univers de matières sonores où le bruissement de la vie s’entend non comme une mélopée mais comme un recours.”
Philippe Méziat, Jazz Magazine
“This kind of music smells like the future.”
Richard Cochrane, musings
”This is a formidable chunk of sound from the outer edges.”
Robert Spencer
“Entre cris et râles, formes mouvantes, déviance assumée, brute pénétration ou chaos destructeur, Chamaeleo Vulgaris déroute. Musique vibratoire, intestine, magnétique, électrique. Entre spasmes et remous. La convulsion comme art suprême, la décharge sonique comme fil conducteur.”
Luc Bouquet, Improjazz
“Their music and inner sleeve artwork would seem to indicate they grew up with the Dead Kennedys and the Butthole Surfers-Gibby wouldn’t sound at all out of place in “Jungfrau”... This is pretty extreme stuff, at times sounding like Naked City’s “Absinthe”, at times like Ground Zero (on a casual listening, Jean-Sébastien Mariage’s guitar could be taken for Otomo Yoshihide)... Not _ for the faint-hearted.”
Dan Warburton
“Quand on vous enfonce un tournevis dans la cuisse, le dos ou le ventre, et qu’on tourne consciencieusement l’objet au milieu de vos cris éplorés, c’est dans la chair que vous avez le plus mal. Chamaeleo Vulgaris enfonce le clou jusqu’à l’os dans une session de torture sado musicale dont vous êtes la victime.”
Octopus
“Ici, les deux musiciens font preuve d’une remarquable habileté à gérer la douleur musicale et d’une notable volonté à présenter une musique protéiforme qui sait gérer les stridences et les pauses sonores pour rendre la musique plus inattendue et ludique.”
Jérôme Schmidt, artzero
“De ce chaos d’ondes, de cette pagaille de sons, ressortent les influences certaines de Merzbow et de Throbbing Gristle, mais aussi du Zero Tolerance For Nothing de Pat Metheny (présenté comme essentiel par Thurston Moore de Sonic Youth) et de Keiji Haino. Autant dire le futur du rock.”
Marie-Pierre Bonniol, nouvelle vague